L’avenir du mécénat s’inscrit dans une dynamique d’innovation et d’adaptabilité face aux évolutions technologiques et sociétales. Les nouvelles technologies, telles que les plateformes de crowdfunding, les cryptomonnaies, l’IA ou la block chain, révolutionnent les modes de financement, rendant le mécénat plus accessible... Et transparent ? Les nouvelles formes de générosité, comme le micro-don ou les arrondis permettent à chacun de contribuer, quelle que soit sa capacité financière. Mais sont-ils la panacée ?

En France, nous avons une dizaine d’années de retard par rapport aux pays anglo-saxons quant à l’intégration de la neurodiversité. Pourtant, les études montrent que la neurodivergence concerne 15 à 20% de la population ! L’entreprise a tout intérêt à miser sur l’inclusion des profils atypiques qui peuvent avoir une vraie valeur ajoutée, en termes de performance, de créativité et d’innovation.

En France, selon l’INSERM, l’autisme touche 700 000 personnes. Seulement 5 % des personnes autistes ont un emploi. Pourtant, elles ont des capacités intellectuelles qui s’avèrent particulièrement intéressantes pour les entreprises prêtes à les accueillir. Même si beaucoup de personnes autistes font des études, elles se retrouvent souvent confrontées à des difficultés de communication et d’interactions sociales (verbales ou non verbales).

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